"E aqueles que foram vistos dançando foram julgados insanos por aqueles que não podiam escutar a música"
Friedrich Nietzsche

sexta-feira, agosto 24, 2012

Celular x Direção

Infelizmente ainda não se teve a ideia de ampliar também para o cigarro, pois quem fuma enquanto dirige teve que acender o cigarro e terá que dar destino ao terminá-lo, além de não ter pelo menos uma das mãos com total dedicação ao volante, ao contrário do que determina o CONTRAN.


terça-feira, agosto 21, 2012

Manœuvres militaires américano-coréennes sur fond de tension en mer de Chine


RFI - Article publié le : mardi 21 août 2012 - Dernière modification le : mardi 21 août 2012
Exercice anti-terrorisme dans le métro de Séoul.
Exercice anti-terrorisme dans le métro de Séoul.
REUTERS/Kim Hong-Ji

Par Christophe Champin
 
Les troupes américaines et sud-coréennes ont débuté leurs manœuvres militaires communes annuelles. Cet exercice se déroule jusqu’à la fin du mois d'août dans et autour de Séoul, la capitale sud-coréenne. Il est banal mais il intervient dans un contexte de renforcement de la présence maritime américaine dans le Pacifique et en Asie, alors que les incidents se multiplient et plusieurs pays de la zone, autour d’îlots qu’elle revendique.

C'est un exercice classique pour les Etats-Unis qui coopèrent étroitement sur le plan militaire avec la Corée du Sud. Comme chaque année d’ailleurs, il suscite la colère du voisin nord-coréen qui en profite pour menacer Séoul de ses foudres.
Mais les exercices du même type se multiplient dans la zone Asie-Pacifique. Ils s'élargissent aussi à de nouveaux Etats, comme l’Inde par exemple. Et c’est un signe du renforcement de la présence militaire américaine dans cette partie du monde. Jusqu’ici, 50% de cet effort se portait sur la zone Atlantique et les 50 autres pour cent dans le Pacifique. Désormais, 60% des forces américaines y seront concentrées.
La raison principale, c’est la montée en puissance de la Chine et la protection des intérêts économiques américains. « On est passé sur le thème d’une menace chinoise qui vient s’inscrire à contresens des intérêts vitaux des américains. Il y a donc un souci de bien marquer que les Etats-Unis sont un garant de sécurité dans la zone Asie Pacifique, explique Marianne Péron-Doise, spécialiste des questions stratégiques à l’Institut national des Langues et civilisations orientales. Mais il y a aussi un souci de s’accrocher à la dynamique de croissance asiatique et donc de chercher par tous les moyens à stabiliser la zone. Et forcément cela explique l’effort militaire américain, la tenue de plus en plus répétée d’exercices multinationaux de plus en plus grande ampleur par exemple. »
Pour mener à bien cette stratégie, Washington s’appuie sur des alliés dans la région. Il y a la Corée du Sud bien sûr, et plusieurs pays d’Asie du Sud Est comme les Philippines, la Thaïlande ou Singapour, qui sont des partenaires de longue date.  Mais Washington se rapproche aussi du Vietnam, l'ancien ennemi.
Tous ces pays ont besoin de la présence américaine pour faire contrepoids à l'omniprésence croissante de la Chine. Ces derniers mois, les hauts responsables américains -dont la secrétaire d'Etat Hillary Clinton et le secrétaire d'Etat à la Défense Léon Panetta - ont d'ailleurs multiplié les déplacements officiels dans la région. 
Pekin et Tokyo haussent le ton sur les Senkaku
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Parmi leurs alliés les plus solides, il y a le Japon, dont les relations se tendent avec la Chine autour des îles Senkaku, sous contrôle japonais mais revendiquées par Pékin, sous le nom de Diaoyu. Ce n'est pas le premier incident du genre. Pour autant, la tension est forte. Des nationalistes chinois ont réussi à planter un drapeau sur l’un de ces îlots le 15 août dernier, avant d’être arrêtés par les japonais puis expulsés. Ensuite ce week-end, ce sont des nationalistes japonais appuyés par une flottille de navires qui sont allés réaffirmer la souveraineté japonaise, provoquant la colère des Chinois.
Et les Etats-Unis, compte tenu de leur alliance militaire avec Tokyo, suivent forcément ce qui se passe. « Les Etats-Unis ont un accord de défense avec le Japon, donc les Senkaku sont reconnues comme faisant partie du territoire japonais. S’il y a une véritable occupation des ilots Senkaku ou de cette zone en mer de Chine par la marine chinoise, par exemple, les Etats-Unis avaient déclaré, il y a quelques temps, que cela faisait partie de cet accord de défense. Donc ils pourraient intervenir aux côtés des forces de défense japonaises pour défendre ce qui fait partie du territoire japonais », analyse Valérie Niquet, spécialiste de la Chine à la Fondation pour la recherche stratégique. Cela dit, explique-t-elle, on est plutôt dans un jeu où la Chine pousse ses pions pour tester la réaction de ses adversaires.
En revanche, plus au sud, en mer de Chine méridionale, Pékin a été beaucoup plus loin dans ses revendications sur différent chapelets d'îles, notamment contre le Vietnam et les Philippines. « En mer de Chine du Sud, la Chine essaye de s’approprier deux millions de km2 d’étendue maritime et de transformer cela en eaux territoriales. C’est un endroit par où passe une grande partie du trafic de marchandises mondial, au-dessus de 50% du trafic de conteneurs, indique Jean-Vincent Brisset, chercheur à l'Institut de recherche internationale et stratégique. Donc là, il y a vraiment quelque chose dans la zone qui a un impact au niveau mondial. Les problèmes sur les petits îlots entre le Japon et la Corée du Sud ou même sur les Senkaku sont quelque chose de plus simple, en tous cas de plus léger sur le plan des conséquences possibles. »
Effectivement, les incidents ont été plus nombreux et sérieux en mer de Chine, ces dernières décennies. Dans les années 70, Pékin a annexé les îles Paracels que le Vietnam considère toujours comme faisant partie de son territoire. Il y a également les îles Spratleys revendiquées à la fois par la Chine, le Vietnam, les Philippines, Brunei et Taïwan. Tout récemment encore, la tension militaire est montée d’un cran entre la Chine et les Philippines sur le récif de Scarborough. Et cela inquiète forcément les Etats-Unis.

Avec Jelena Tomic et Chloé Bahize

domingo, agosto 19, 2012

“Chega de igualdade! Mulher não dá para ser soldado!” – diz capitã dos Marines

recebido por e-mail, 16 agosto 2012

Autor: Luis Dufaur

Katie Petronio: Chega disso! Nós não fomos criados todos iguais”

“Chega disso! Nós não fomos
criados todos iguais”

“Mulher nunca deveria ser soldado de infantaria”, escreveu a capitã dos Marines Katie Petrônio na revista “Marine Corps Gazette”, segundo informou a agência LifeSiteNews.
No artigo intitulado
“Chega disso! Nós não fomos criados todos iguais”, a capitã defende que a anatomia feminina não é capaz de resistir às asperezas de uma longa carreira militar que envolve operações de infantaria.
Ela adverte que os Fuzileiros Navais (Marines) vão sofrer “um aumento colossal no número de mulheres incapacitadas e obrigadas a concluir sua carreira por causas médicas”.
Katie Petronio se baseia na experiência pessoal, adquirida em situação de combate. Esta acabou lhe causando sérios danos físicos, malgrado um promissor começo na elite da oficialidade da arma.
A capitã escreveu que “preenchia todas as condições” para ser uma mulher-soldado ideal quando começou a carreira. “Eu era uma estrela no hóquei sobre gelo no Bowdoin College, pequena escola de elite em Maine, com um título em Direito e Administração”.

Katie Petronio: “Cinco anos depois, eu não sou a mulher que uma vez fui”

“Cinco anos depois, eu não
sou a mulher que uma vez fui”

Ela também tirou resultados “de longe acima da média em todos os testes físicos de capacidade para mulheres”, embora não completasse todo o treino prévio.

“Cinco anos depois, eu não sou fisicamente a mulher que uma vez fui, e meus pontos de vista a respeito de a mulher ser bem sucedida numa carreira duradoura na infantaria mudaram muito”, escreveu Petronio.
“Eu posso dizer, com base na minha experiência pessoal direta no Iraque e no Afeganistão, e não é apenas uma impressão, que nós ainda não começamos a analisar e a compreender as questões específicas de saúde do gênero e os danos físicos nas mulheres por causa de contínuas operações de combate”.

Não dá para mulher aguentar o esforço que homem épode fazer

Corpo da mulher não aguenta
o esforço que homem pode fazer

Petronio “participou em numerosas operações de combate” que por vezes duravam semanas, sofrendo stress e falta de sono.
Suas pernas começaram a se atrofiar, perdeu a mobilidade, perdeu peso, parou de produzir estrógeno e desenvolveu uma síndrome no ovário que a deixou estéril.
Ela completou seu período com bons resultados, mas percebeu que lhe seria impossível aguentar o esforço que um homem é capaz de fazer e pediu para se retirar por motivos de saúde.
Petronio manifestou sua preocupação diante da pressão dos grupos que impulsionam a integração de mulheres no corpo de infantaria.

Dinamitando árvore, foto de Katie Petronio

Dinamitando árvore,
foto de Katie Petronio

“Quem está promovendo essa agenda? Eu pessoalmente não vejo Marines femininas, recrutas ou oficiais, batendo às portas do Congresso, queixando-se de que sua impotência para servir na infantaria viola o direito à igualdade” escreve ela.
Kate diz que essa pressão está sendo aplicada pelo “pequeno comitê de civis nomeado pelo Secretário de Defesa” denominado Comitê Consultivo em Defesa para as Mulheres em Serviço (Defense Advisory Committee on Women in the Service – DACOWITS).
Embora alguns deles tenham experiência militar, nenhum de seus membros “estão no serviço ativo ou têm qualquer tipo de experiência recente em combate ou em operações relevantes sobre as realidades que eles estão tentando modificar”, observou Petronio.

Convém salientar que a opinião da Capitã katie Petrônio se refere à participação das mulheres na infantaria, e não nas Forças Armadas como um todo.