"E aqueles que foram vistos dançando foram julgados insanos por aqueles que não podiam escutar a música"
Friedrich Nietzsche

terça-feira, julho 27, 2010

Le président Karzaï accuse les forces internationales d’avoir tué 52 civils afghans

Me desculpem, mas outra que vai sem tradução. Quem tem o mozilla pode instalar o IM Translator como plugin que ele traduz o texto.

RFI - Article publié le : lundi 26 juillet 2010 - Dernière modification le : lundi 26 juillet 2010


Des soldats de l'Isaf combattaient des talibans dans le district de Sangin.
Des soldats de l'Isaf combattaient des talibans dans le district de Sangin.
RFI / Isabelle Artus
Par RFI

Le président afghan Hamid Karzaï a accusé lundi 26 juillet les forces internationales d'avoir attaqué un village à la roquette et tué 52 « civils innocents » dans la province du Helmand, bastion des talibans dans le sud de l'Afghanistan. Pour l'OTAN, ces accusations sont « complètement infondées ».

Des soldats de l'Isaf, la Force internationale sous l'égide de l'OTAN, étaient en train de mener des combats contre les talibans dans le district de Sangin. Selon le porte-parole du gouvernement afghan, une roquette de l'Isaf a détruit une maison dans laquelle de très nombreux civils s'étaient réfugiés. Des femmes et des enfants sont morts et Hamid Karzaï dénonce une bavure de l'Isaf. D'après le président afghan, « les forces de l'OTAN ont tué des civils innocents ».

Dans un premier temps, l'Isaf avait démenti toute implication dans ces pertes civiles. Son commandement a toutefois annoncé qu'il menait l'enquête. Mais visiblement cela ne suffit pas au président afghan.

Depuis 2001, toute une série de tirs accidentels ont fait des ravages parmi la population. En septembre 2009, par exemple, un bombardement de l'OTAN dans la province de Kunduz avait pris pour cible des civils par erreur. Il avait fait trente morts et provoqué la colère de la population locale.

Des bavures à répétition qui soulèvent la défiance des civils vis-à-vis de cette force internationale, qui était censée ramener la paix. De son côté, Hamid Karzaï redoute d'en subir les retombées. Il a donc pris l'habitude de prendre les devants et de renvoyer la balle dans le camp de l'Isaf.

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